Georges LAUTNER 1926-2013

Georges Lautner est cité dans le livre de Jean-Pierre Fouchy "Une Polka à Nice"
Voici ce qu'écrit en 2013 Jean-Pierre Fouchy en apprenant la mort du cinéaste :
Georges Lautner nous a quittés.
C'était un Niçois, né à Nice d'un père natif de Nice joaillier et pilote durant la grande guerre, d'origine autrichienne (Vienne) et d'une mère, Renée Saint-Cyr, née Marie Louise Vittore à Beausoleil (une Beausoleilloise) d'un père de Castellar (un Castellarois).
Beausoleil est situé entre Monaco (Guillaume Apollinaire page 52 et suivantes) et La Turbie (course de Nice à La Turbie durant laquelle Eliot Zborowski est mort à bord d'une mercedes Page 101 et suivantes), deux villes citées dans "Une Polka à Nice".
Georges Lautner sera inhumé à Nice au cimetière du château (une photo de la tombe de la famille de Leon Wladylaw Lowenstein baron de Lenval dans ce cimetière figure dans mon livre en page 126).
Il était installé à Grasse (Amiral comte de Grasse vainqueur de la flotte anglaise durant la guerre d'indépendance des États-Unis à laquelle participa Tadeusz Kosciuszko (page 16)
Il a tourné 11 films à Nice aux studios de la Victorine.
Il se trouve que la vidéo des "Tontons flingueurs" est consultable à l'Institut français de Varsovie. Les Polonais qui étudient le français ont beaucoup de mal à comprendre toutes les subtilités de la langue d'Audiard !
En page 7 de "Une Polka à Nice" on trouve :
« Je connais une Polonaise qui en prend tous les matins au petit déjeuner ».
Tirade écrite par Michel Audiard et dite par Lino Ventura dans "Les Tontons flingueurs", film réalisé par Georges Lautner en 1963.
Le livre "Une Polka à Nice" est consultable dans les bibliothèques de la ville de Nice. On peut aussi l'acquérir, par exemple pour un cadeau de Noël, en ce moment auprès de l'éditeur ou par le site de la FNAC. Pour les Niçois, aujourd'hui, on en trouve des exemplaires à Brouillon de Culture place Wilson, à la Librairie Masséna près de la place Masséna rue Gioffredo et à la librairie du quartier d'affaires de l'Arenas (fermée le week-end).
Cordialement - Jean-Pierre Fouchy